Remettre l'Amour dans l'Equation

Quelles joies de la vie ne voyez-vous pas tant que votre vision n’est pas guérie?

Guérir sa vision, est-ce possible?

Petite, je voyais bien. Puis pendant mes études, ma vision se dégradait. Mais j’avais du mal à me faire aux lunettes. Je les réservais à la conduite, et parfois pour éviter la fatigue devant l’écran. Et au cinéma, pour ne pas perdre la magie du film.

En tout cas, je les enlevais dès que j’étais face à une personne. C’était pour moi comme si je n’avais pas de contact direct avec la personne. Comme si on se parlait à travers une vitre qui nous séparait. Je ne supportais pas cette sensation de communiquer avec quelqu’un de qui j’étais coupée. Quelle vision pouvais-je avoir de l’autre dans cette séparation?

Et si cela n’était pas definitif ? Et si guérir sa vision était possible?  Et pourquoi pas, d’ailleurs ?

Guérir sa vision par la libération émotionnelle?

Rien n’est immuable. Pourquoi une mauvaise vue le serait? Curieuse et pleine d’espoir, je participais dans une expérience « EFT » pour améliorer la vision. On passait en revue toutes les émotions de base qui pouvaient être inscrites dans les muscles des yeux. Débarassées de ses stress, la vision s’améliorait.  j’ai un vive souvenir du jour où j’avais ainsi libéré la colère : en levant mes yeux, je voyais la montagne d’une netteté incroyable ! Chouette, me disais-je, vue et vision guérie, et je passais à autre chose.

Et je laissais mes yeux se re-dégrader petit à petit.

Guérir sa vision par l’amélioration fonctionnelle?

Un peu plus tard, je suis tombé sur un programme qui alternait relaxation et exercices de focalisation et d’agilité pour les yeux. Emballée par les résultats des témoignages, je suivais le programme sur trois semaines. Et effectivement, ma vue s’améliorait à nouveau de façon spectaculaire. J’ai du mal à trouver les mots pour la sensation de liberté que j’éprouvais la première fois que je prenais le volant sans mes lunettes sur le nez. Après le programme d’entraînement quotidien, je continuais encore quelque temps au rythme d’une fois par semaine, puis … eh oui, vous savez bien, la vie passe…

Presbyte en plus?

C’est l’âge, dit-on. La solution habituelle: des verres progressives. Avec une toute petite voix, je suggérais à l’ophtalmologiste « oui, mais il existe des exercices… ». C’était comme si je cherchais l’aval de mon médecin pour me motiver à reprendre ce dont je savais bien que ça fonctionnait ! On n’est pas très logique quand on a un petit saboteur à l’intérieur !

Enfin, la réponse de l’ophtalmo était « Mais Madame, si ça fonctionnait, ça se saurait ! Je vais vous faire une ordonnance pour des verres progressives, et vous allez vous y faire comme tout le monde ! »

Ehm, oui, mais ça se sait, moi je le sais, si je l’ai vécu, non ? – Mais je n’ai pas osé insister. Peut-être, quelque part,vait-il raison? Bizarre, à quel point on se laisse embobiner par une authorité. « Si je l’ai vécu », cela aurait dû me suffir pour agir.

Pourtant, la paresse et l’obéissance à la médecine me poussant, j’ai quand même tenté de porter des verres progressives. J’avais du mal à m’y faire. C’est seulement quand l’opticienne m’a expliqué que je ne devais désormais plus bouger les yeux, mais que je devais m’habituer à bouger la tête entière à la place, que j’ai compris : mes pauvres yeux étaient donc condamnés à être enfermés comme dans un corset, et devaient désapprendre à bouger, devaient rester immobiles, pour garder la bonne focalisation à travers ce seul point des verres qui était praticable ? Parce que, si le fait de leur réapprendre à bouger fonctionnait, « ça se saurait » ? Mais jusqu’où allais-je pousser la stupidité ?

Guérir sa vue =  guérir sa vision ?

En fait « ça se sait ». Les méthodes d‘entrainement pour ajuster la focalisation sont nombreuses. Elles existent depuis près d’un siècle. Puis le fondateur du Brain Gym, Paul Dennison, a fait des expériences qui visaient plutôt à relâcher le stress enregistré dans les muscles oculaires. Relâcher le stress enregistré dans les muscles oculaires, c’est leur donner la possibilité d’entourer le globe oculaire sans le serrer, sans se crisper. Le globe étant rempli d’une sorte de gélatine, il est déformable. Quand on le déforme par une trop grande pression, la lumière n’arrive plus au bon endroit dans le fond de l’oeil. Alors on met des lunettes correctives devant, pour re-orienter la lumière au bon endroit.

Et si toutes les bonnes raisons que nous nous donnons pour justifier que la vue se détériore avec le temps, avec l’âge, n’était qu’une interprétation erronée ? Si c’était juste les muscles qui se crispent de plus en plus, parce que nous leur laissons peu de chance de se relaxer, parce que les stress enregistrés y restent et s’accumulent ?

Et si le problème n’était pas la vue elle-même, mais notre vision sur elle? Avons-nous la bonne vision sur nos yeux, sur le vieillissement, sur la vie? Combien de choses ne voulons-nous plus voir, et quelle autre solution que de laisser nos yeux exécuter notre prière « pitié, je ne veux plus voir ça »?

Etait-ce la paresse de reprendre les exercices, ou manquait-il quelque chose de plus fondamental?

Le Processus pour la Vision

Et puis j’ai découvert le Processus pour la Vision d’Access Consciousness® : On s’allonge, quelqu’un pose ses mains sur nos yeux, et on part dans le nirvana de la relaxation pendant une heure. La relaxation est ici combinée avec un procesus énergétique, qui agit en profondeur non seulement sur la vue, mais sur notre vision, notre façon de voir, en général. Dans cette relaxation profonde, ce sont des points de vue que nous relâchons. Ces points de vue, qui coincent notre vision, et qui crispent nos yeux au point de ne plus voir !

Ce n’est pas tout de suite, en me relevant de la première séance, que tout avait changé. Non. Mais petit à petit, je me rends compte, que mes yeux ne subissent plus la sécheresse que j’avais connue, que les collyres restent dans le tiroir. Même après une journée devant l’écran. Récemment, j’ai enfilé le fil dans l’aiguille de ma machine à coudre. Sans viser, sans espérer de tomber juste. Sans me reculer pour mieux voir. Sans reporter au lendemain car « à la lumière du jour ce sera plus facile ».

Et ce n’est pas tout de suite que je me suis rendu compte, mais parfois je me surprends de ne plus voir les choses de la même façon.

J’ai intégré Le Processus pour la Vision dans mon travail. Demandez, si vous voulez voir clair !

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